20 000 kms en Tricycle couché n°10 quinquies ou « En passant par la Chine »
Posté par LPBSM le 16 novembre 2014
Bonjour,
Je reviens d’un court séjour à Marrakech où j’ai pris le « chems » (soleil en arabe) et ai revisité, entre autre, la villa « Majorelle »
Il a été particulièrement difficile de ne sélectionner que cinq images tellement tous les coins du jardin s’améliorent d’années en années (voir qui était Jacques Majorelle sur : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Majorelle) . Je vous ai épargné l’image de la stèle d’Yves Saint-Laurent, même si elle s’embellit depuis 2008 .
Je n’ai pas pu résister à vous en envoyer une sixième .
Le jardin MAJORELLE contient une très grande variété de formes et d’essences végétales collectionnées, provenant des cinq continents, faisant de Jacques MAJORELLE un des plus important collectionneur de plantes de son époque .
Depuis sa restauration par Yves Saint-LAURENT et Pierre BERGER, le jardin ne fait que s’embellir sous l’égide de « la fondation Pierre BERGER-Yves Saint-LAURENT » qui en assure la pérennité et l’ouverture au public dans la continuité de l’esprit qu’avait insufflé Jacques MAJORELLE en 1947 .
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Pendant ce temps, Laurent HOUSSIN prenait le temps de faire une petite randonnée dans le sud de Bishkek :
Laurent s’est donc payé une petite randonnée dans l’Ala Archa National Park pour aller voir les « Monts Célestes » … (Tian = céleste et Shan = montagne ; alors monts du ciel ou monts divins … ?)
Il rencontre à cette occasion une jolie randonneuse Kirghize, le 5 novembre 2014, dont l’utilisation d’un homme de bât semble être en cohérence avec son portrait … (j’ai volontairement grossi la première image en grossissant également le trait …) .
Enfin le 12 novembre, Laurent est entrain de se préparer « one tchaï » bien chaud (avec sa nouvelle acquisition) car l’hiver s’annonce dur dans le « Tian Shan kirghiz » d’après Laurent ; or sur mes cartes je n’ai que qui nous indique les montagnes Kirghizes et non pas les « Tian Shan » se trouvant en Chine
; mais cette dernière carte tendrait à donner raison à Laurent :
Dans mon dernier article, je vous avais promis, pour patienter, une dernière visite de Kashgar mais avec un oeil plus pragmatique posant des questions naïves qui peuvent déranger (du genre : « mais d’où vient l’électricité ?) … Vous n’allez pas être déçus .
Cependant les conditions géographiques sont également très prégnantes à Kashgar avec la proximité du Taklamakan :
« Aujourd’hui un vent de sable venu du désert du Taklamakan rend l’atmosphère brumeuse, une poussière insidieuse s’infiltre partout, je tousse… » Extrait de : http://cathahk.blogspot.fr/2013/09/kashgar-xinjiang-chine.html en septembre 2013 .
Sur cette image satellite, on voit bien la tempête de sable se lever sur le Taklamakan
Un désert en chantier :
La vie est fixée dans de vastes oasis où dans les centres industriels créés par les Chinois qui traitent là le charbon et différents minéraux provenant des mines alentours par des voies ferrées et convois dédiés. Les ouvriers et leur famille sont logés sur place. Ces centres, ainsi que les villes traversées ont souvent leur propre centrale atomique. J’ai dormi 36h… en 1500 kms donc (3000:2), j’ai pu compter depuis ma fenêtre, 9 centrales atomiques, toutes en pleine ville (pas au centre), sans protections spéciales, à côté des habitations, des rues. Celle de Kashgar de 4 réacteurs est à 150 m de la gare. Un cyclo japonais, voyant que la majorité des Chinois se déplacent en scooter électrique dont les batteries se rechargent sur le secteur (220V), me disait » mais d’où provient leur électricité? «
Des millions de m3 de béton ont été coulés dans des aménagements colossaux, routes, autoroutes, ponts, tunnels, champs d’éoliennes, murs et digues protégeant de l’ensablement, canaux amenant l’eau.
Dans les villes les bulldozers, les tractopelles sont à l’œuvre, creusant et éliminant tout ce qui gêne les nouveaux aménagements. Des voies surélevées sont en chantier, des avenues ouvertes, des buildings et logements en construction…
Entre les centres industriels, les paysans cultivent et regagnent des terres sur le désert. Des milliers d’arbres ont été plantés pour arrêter le sable et la poussière, fixer l’humidité, protéger les cultures… »



Extrait de : http://www.saintines.net/?p=724
Le traitement de ces eaux usées est essentiel, et requiert l’usage de procédés physiques, chimiques et thermiques.
Pour l’être humain, les effets néfastes des centrales thermiques peuvent s’exercer soit directement sous l’action des gaz nocifs sur l’organisme (affection des voies respiratoires…), soit indirectement par le biais de la chaîne alimentaire ou des dégradations du cadre de vie.
Les retombées de polluants peuvent également avoir des effets néfastes sur les forêts, les lacs et les fleuves, susceptibles de conduire à long terme à d’importantes dégradations du paysage.
La dégradation des paysages est également une conséquence néfaste des centrales thermiques (construction des voies de transport pour acheminer les combustibles et évacuer les résidus…). »
Mais …
J.M. MARTIN pour Tricycles Rennais
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